La diffusion de ces messages prend une certaine ampleur et crée déjà un début de psychose au sein des populations.
La BCEAO dément formellement être à l’origine de ces informations malveillantes et rassure : « elle n’a apporté aucune modification à la gamme actuelle des billets de banque de son émission en circulation qui demeurent valides ».
Pour éviter aux populations de tomber dans le panneau et de céder à l’affolement, elle les « invite à la plus grande vigilance et à ne se référer qu’aux voies de communication officielles usuelles de l’Institut d’émission ».
A cet égard, elle rappelle que tous ses communiqués sont publiés sur son site internet www.bceao.int, ainsi que dans la presse écrite et audiovisuelle.
Pour dissuader les personnes qui se livrent à cette pratique aux desseins inavoués, elle « se réserve le droit d’engager des poursuites judiciaires » à leur encontre pour « des actes et messages de nature à porter atteinte aux signes monétaires ayant cours légal dans les Etats membres de l’Union Monétaire Ouest Africaine ».
Source: Agence éco-finance
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